Ce mois-ci nous faisons connaissance de Stéphanie, 23 ans, vendeuse et passionnée de danse.

Stéphanie, comment es-tu devenue vendeuse en téléphonie ?

Je viens d’un BTS MUC (management des unités commerciales) par alternance. J’ai toujours aimé les nouvelles technologies. J’ai commencé au départ par un petit contrat en CDD chez Boulanger Saint-Priest, puis j’ai signé un contrat à durée indéterminée. Pour moi les technologies ainsi que la
téléphonie c’est l’éclate totale !

Tu as un autre métier je crois ?

Oui, effectivement, les week-ends je suis barmaid au Woodland’s, une boîte de nuit sur les quais de la Saône à Lyon.

Mais je crois que ton rêve ce n’est pas ça, je me trompe ?

En fait, mon rêve c’est d’ouvrir une école de danse.

Pourquoi la danse ?

Je baigne dans ce milieu depuis toute petite et pratique la Capoeira et le Hip-hop. Cela fait plus de six ans que je suis juge de danse et huit ans que je suis monitrice pour des jeunes de 8 à 26 ans.
Je fais également de la gymnastique rythmique et sportive depuis dix-huit ans et suis co-responsable de l’Amicale de Bron, qui se consacre à la gymnastique.

Alors cela doit-être difficile d’avoir un peu de temps libre pour toi ?

Oui, même si j’aime beaucoup regarder des films liés à la danse comme « Sexy danse ». Et pour ce qui est des sorties, elles se limitent la plupart du temps aux compétitions de danse, ainsi qu’à mon travail de barmaid en boîte de nuit !

Tu as commencé à poser pour des photos quand ?

En fait, j’ai gagné un concours de Miss 2night à 20 ans et c’est comme cela que j’ai rencontré le photographe Sébastien Pignard qui m’a fait un book car cela faisait partie de mes cadeaux de miss et j’ai adoré cela !

As-tu eu d’autres expériences dans ce domaine depuis ?

Oui, un autre book, quelques défilés de mode dont un de lingerie. Et depuis, je suis poussée par mon copain pour aller dans une agence. Donc oui quelques projets d’avenir aussi dans ce domaine.

Donc tu n’es pas célibataire ?
Non, désolée !

Des projets à deux, peut-être ?

Peut-être acheter une maison en commun et qui sait, un mariage ? Seul l’avenir nous le dira, mais je l’espère.

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